Entre ceux qui soutiennent inconditionnellement leur gourou et ceux qui préfèrent parier sur le fait qu’il ne peut pas y avoir de vérité absolue, il y a un monde. Ce n’est sans doute qu’après notre mort que nous aurons la possibilité de « savoir » de manière définitive qui a eu raison. En attendant, nous sommes amenés à peser les différentes options et à faire notre choix face aux nombreux messages prétendus uniques.
Avant de remonter dans le temps, relevons que Jésus est loin d’être une sorte de farfelu suivi par quelques dizaines de personnes. Nous avons tous entendu parler de tel illuminé qui a découvert la « vérité » dans un oignon, ou dans la forme du nombril, ou encore avec des extra-terrestres. Heureusement ces « adorateurs » sont très marginaux. En revanche, un tiers de l’humanité se réclame du Christ, deux millénaires après sa venue. Même notre temps est compté à partir de lui. Comme le disait Blaise Pascal, la Bible n’a pas d’autre objet que Jésus-Christ. Or, elle a toujours été le best-seller absolu depuis que l’imprimerie existe. Il faudrait être naïf pour imaginer que tant de personnes se soient complètement fourvoyées.
Qu’ont donc Jésus et son message de si particuliers pour atteindre autant de personnes ? Voici quelques raisons parmi bien d’autres.
Unique dans l’annonce de sa venue
Il est facile de démontrer que jamais homme n’a été annoncé, des siècles à l’avance, comme le Christ l’a été. Il suffit de lire en détail le « premier testament » pour découvrir le nombre important de prophéties concernant la venue du messie. Quelques-unes sont d’une précision époustouflante comme l’annonce du nom du village de sa naissance, la façon dont il souffrirait, la période de sa venue. En comptant les références indirectes, on pourrait totaliser plus de 300 prophéties. En contraste, les prédictions nébuleuses d’un Nostradamus n’ont quasiment aucun rapport.
Unique par sa naissance
Les récits bibliques de Noël montrent que Jésus est unique. Il est né d’une jeune fille vierge, n’en déplaise aux moqueurs, comme le prophète Ésaïe l’avait annoncé des siècles à l’avance.
Unique par ses miracles
Personne n’a parlé à une tempête pour la calmer, personne n’a guéri tant de malades et délivré tant de possédés. Le Nouveau Testament rapporte même trois cas de résurrection que Jésus a accomplis. En agissant ainsi, Jésus a accompli ce qui avait été annoncé concernant le messie promis.
Unique par son message
Un jour, les opposants de Jésus ont mandaté des « huissiers » pour analyser son enseignement afin de le contester par la suite. À leur retour ils ont dit : « Jamais homme n’a parlé comme cet homme ». La profondeur de son enseignement sur l’être humain, sur le sens de la vie, sur l’éternité, sur Dieu a marqué le monde comme probablement personne d’autre.
Unique par sa mort
Les circonstances de sa mort décrites par la Bible sont uniques aussi. Les ténèbres se sont faites durant trois heures le jour de sa crucifixion. Au moment de sa mort, le voile du temple s’est déchiré, des sépulcres se sont ouverts, la terre a tremblé… Même le capitaine romain qui surveillait Jésus à ce moment-là s’est écrié : « Assurément, cet homme était Fils de Dieu ».
Unique par sa résurrection
C’est probablement le point le plus extraordinaire. L’Évangile rapporte que le Christ n’est pas resté dans le tombeau, mais, comme il l’avait dit à plusieurs reprises, il est ressuscité et il a vaincu la mort. « Je suis la résurrection et la vie », annonçait Jésus à Marthe. Paul parle de plus de 500 témoins de cet évènement.
Aujourd'hui encore, il nous invite
Dieu a choisi d’envelopper tous ces faits d’une certaine brume pour n’obliger personne à se tourner vers le Christ. Les contestataires ont toujours été très nombreux, y compris parmi de prétendus chrétiens, voire des théologiens. Néanmoins la lumière est suffisante pour celui qui désire connaître le Christ puisse aujourd’hui venir à lui et réaliser qu’il est réellement « le chemin, la vérité et la vie, et que nul ne vient au Père que par lui ». Par sa victoire sur la mort, Jésus nous dit encore aujourd’hui : « Venez à moi… Le pain qui donne la vie, c’est moi ».