19 septembre 1905. Thomas Barnado. L’amour des enfants

publié le 19 September 2013 à 02h01 par José LONCKE

Thomas John Barnardo (4 Juillet 1845 – 19 sept. 1905), se converti à Jésus-Christ à l’âge de 17 ans, 

4 juillet 1845. Thomas Barnado. L’amour des enfants

Il entre quatre années plus tard comme étudiant en médecine à l’hôpital de Londres.  Il souhaitait se rendre en Chine comme médecin missionnaire. Mais en l’espace de quelques mois un concours de circonstances a changé la direction de sa vie. Il a découvert la pitoyable existence d’enfants sans ressources, dans la banlieue Est de Londres. En 1870, âgé de 25 ans, il a ouvert pour eux  son premier foyer à Stepney.
Il a décidé de rester à Londres et de consacrer sa vie à secourir ces « créatures de Dieu les plus démunies et les plus nécessiteuses, les enfants sans ressources ». En 40 ans, il a rassemblé l’équivalent de 4 500 00 euros, établi un réseau de homes pour recevoir, soigner et éduquer des enfants nécessiteux, privés de foyer et souffrants, et, arracher garçons et filles à la misère.  Nous pouvons aujourd’hui l’appeler le saint patron des enfants des rues…

Mais qu’est-ce qui a été le moteur de cette extraordinaire action ? La veuve de Barnado a écrit :
« Partout, Barnado, cherchait les enfants… Car il les aimait… il les aimait tous… Dans l’ardeur désintéressée de la jeunesse, ce sont les pires qu’il aima le mieux, avec cette passion qui trouve sa joie dans le service désintéressé… Au milieu d’un peuple qui prétend suivre celui qui a dit « »Laissez venir à moi les petits enfants’… les enfants mouraient dans le caniveau et il y en avait peu pour s’en occuper. »

Peu après sa mort parût un poème dont voici un extrait :
‘Laissez venir à moi les enfants,
Les petits enfants’, dit la voix de Jésus,
Et comme loi,
A celui dont les lèvres sont aujourd’hui muettes,
La Voix du Maître suffisait.

‘Laissez les petits enfants » : ainsi parlait-il
Et dans ses traces, ce vrai disciple marcha,
Relevant les indigents, par le grand amour,
Jusque dans les bras de Dieu.

Source : John Stott, Le Christ incomparable,  pp189-191

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