23 novembre 1846. James Evans, l’apôtre du Nord
James Evans (18 janvier 1801-23 novembre 1801) était un missionnaire méthodiste canadien et un linguiste amateur. Il est connu pour sa création du syllabaire pour l'ojibwé et le cri, qu’il a ensuite adapté pour d'autres langues telles que l’inuktitut .
James Evans, ayant servi comme missionnaire auprès des Indiens du Canada, s'effondre de façon inattendue en Angleterre et meurt sur le coup à quarante-cinq ans d’un infarctus du myocarde en 1846.
Il avait été soumis à une pression énorme à la suite d'allégations sexuelles portées contre lui. Il est accusé de mauvaise conduite avec les filles autochtones sous ses soins. Il s'est avéré que c'était un stratagème de la Compagnie de la Baie d'Hudson pour discréditer et incarcérer Evans, en raison de son dévouement indéfectible à aider les autochtones et de sa prédication à l’encontre de l’alcool let du travail du dimanche.
Bien qu'il ait été innocenté, il est envoyé à Londres pour se défendre à nouveau, où il a été conclu qu'il n’a agi que par imprudence en les traitant avec la même familiarité que ses propres filles.
Un incident mémorable dans sa vie avait été le fait qu'il avait tiré accidentellement son ami et confrère Thomas Hassall, un Indien converti en 1844. Des amis l'ont poussé à fuir. James, cependant, a localisé la famille de l'homme, a expliqué ce qui s'était passé et s'est proposé à être adopté à la place de l'homme. La mère était tellement impressionnée qu'un homme blanc se soucie de ses sentiments et de ceux d'une famille indienne qu'elle a laissé James vivre. Pour le reste de sa courte vie, James a partagé ses revenus avec elle.
Sa fille Clarissa Eugenia a épousé plus tard le trappeur et explorateur John McLean.
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