Croire et Vivre en prison
Chère communauté Croire et Vivre,
D’abord, je vous salue avec la paix du Seigneur. Je découvre votre magazine grâce à l’aumônier de prison. Je suis tellement content de cheminer ma route avec vos témoignages et actualités qui solidifient ma foi en Jésus-Christ, celui qui m’a racheté.
Quand j’avais 15 ans, je lisais le Nouveau Testament cloué au lit. Cela a duré deux ans et demi. J’étais abandonné par tous, sans parent, sans aide. J’ai voulu aller à l’assemblée locale offrir à Jésus le reste de ma vie si fragile. Dieu m’a guéri dès le premier pas. En Roumanie, on rencontre pas mal d’obstacles quand on est protestant, rom (tsigane) et un peu bronzé. La société nous rejette et nous stigmatise, par fanatisme et racisme. J’ai retrouvé le même racisme en France avec en plus le racisme antijuifs.
Ici, en prison, on n’a pas la possibilité d’acheter des livres. J’ai partagé votre Croire et lire « Dieu en prison » car beaucoup de prisonniers changent d’attitude. Je chante aussi l’amour de Dieu avec ma guitare.
Enfin, je vous bénis dans le nom de Jésus-Christ.
Mon verset préféré « Mon père et ma mère m’abandonnent, mais le Seigneur me recueillera. » Psaumes 27.10.
Thiago
Les Croire et Vivre sont des semences
S’il vous reste des Croire et Vivre, de n’importe quel mois, nous aimerions en recevoir une centaine, mais différents. Nous les donnons en effet pendant nos promenades de l’été.
Tant que le froid ne s’installe pas, nous avons des opportunités. Régulièrement, nous en mettons trois différents dans une boîte à livres sur le parcours de nos marches. Et quand l’occasion se présente nous en donnons lors de conversations...
Ce qu’il y a de bien, c’est que vous abordez tous les sujets d’actualité....
La page de couverture de la revue est très explicite et attractive.
Ces bonnes semences prendront vie un jour même si aujourd’hui nous ne le voyons pas.
Marie Édith et Hubert