Dieu dans mon métier
J’ai utilisé l’image du tabouret
Jeremy, ingénieur développeur informatique
Mes collègues s’intéressent peu au fait religieux, si ce n’est une curiosité intellectuelle sur ce que croient les protestants. Toutefois, l’un d’eux, Ahmed, était d’avis que c’était croire en quelque chose qui était le plus important parce que ça faisait du bien.
J’ai alors utilisé l’image du ‘’tabouret’’ pour ma démonstration. Si tu crois que le tabouret est solide, tu t’assois, tu te reposes et ça te fait du bien. Mais si le tabouret s’écroule quand tu t’y assois, ta croyance s’écroule aussi, le bien qu’elle te faisait n’était qu’illusoire.
Il ne suffit pas de croire en quelque chose, c’est ce en quoi on croit qui est plus important. La foi n’est pas une béquille de confort, parce que c’est une croyance qui se base sur quelqu’un de solide et pour moi c’est Jésus.
Au quotidien
Bientôt le printemps !
Laurent BrunJ’aime le mois de mars car c’est celui de mon anniversaire. Je l’aime aussi parce que, même si la météo n’est pas encore de la partie, je vois bien que les jours s’allongent, le matin et le soir. Et puis, les violettes, narcisses et primevères apportent les premières couleurs et de minuscules bourgeons prometteurs commencent à apparaître. La nature se réveille, pleine d’espoirs.
Mars est aussi le moment de faire le point sur mes fantastiques résolutions de début d’année. Je me félicite d’avoir maintenu le bon cap pour certaines, ou je me motive de nouveau pour reprendre celles que j’ai lâchement abandonnées. À moi de choisir. Et pour vous, est-ce utile d’y penser ?
P.S. : Merci d’envoyer vos cadeaux d’anniversaire au journal qui transmettra !
S'émerveiller
Et si on regardait le ciel ?
Nous vivons tous des jours où la tristesse nous colle à la peau. Parfois, nous en savons les raisons ; d’autres fois, il s’agit d’un sentiment diffus de mal-être dont nous avons du mal à nous débarrasser. Courbés par le poids invisible des soucis, nous avons du mal à lever la tête, et pourtant…
Même entourés d’immeubles, nous pouvons admirer les nuages. Il y a presque toujours de la beauté à trouver quelque part, ne serait-ce que dans le vol d’un pigeon ou d’une pie. Regarder au-dessus de notre tête permet de prendre du recul. Nous prenons ainsi conscience d’être bien petits dans un univers d’une grandeur majestueuse.
Observer la nature n’est pas seulement bon pour notre santé mentale. Un regard attentif nous aide à développer un rapport plus sain avec le monde du vivant. Que nous vivions en ville ou à la campagne, nous prenons soin de ce que nous avons appris à aimer. L’observation des plantes et des animaux autour de nous est souvent le premier pas vers un comportement plus responsable.
Au printemps dernier, A Rocha organisait un défi : identifier un maximum d’espèces d’oiseaux en une seule journée. 181 personnes de 21 pays différents ont collaboré. 1.089 espèces ont été recensées ! D’autres projets de sciences citoyennes, à plus grande échelle, permettent d’étudier l’état de santé des écosystèmes, afin de mettre en place des actions adaptées. Ils sont aussi l’occasion pour des non-spécialistes de découvrir la merveilleuse diversité qui nous entoure.
Prenons le temps de lever les yeux. Ce ne sera pas du temps perdu !
Rachel Calvert, Présidente d'A Rocha France
La foi vue d’ailleurs
États-Unis
Les chrétiens ont le choix entre toutes sortes d’Églises : Églises de motards, Églises de skaters, Églises de cow-boys,... sans compter les Églises ethniques. Certaines Églises ont la taille d'un stade et rassemblent des milliers de fidèles le week-end. La musique chrétienne – véritable industrie – a transformé le style des cultes leur donnant l’allure de concerts rock. Le son est si fort qu’il est impossible de parler à son voisin.
Avec la Covid, de nombreuses Églises se sont transformées en « Drive-in Theater » : chacun reste dans sa voiture et regarde le culte sur grand écran.
Pour ma part, c’est dans l’intimité d’une petite Église que j’ai trouvé ma place avec ma famille.
John Kronntje, Seattle (Washington)
Les conseils de Sylvaine
Le nez : un filtre naturel
Son arsenal de défense commence par les poils qui sont les filtres des particules bactériennes et des micro-organismes. Le mucus permet de stopper les particules plus fines : microbes et champignons microscopiques. Ce mucus est évacué lorsqu’on se mouche. Autrement il sera entraîné dans l’estomac et neutralisé par les sucs gastriques. Le mucus possède des substances produites par l’épithélium nasal qui neutralisent l’envahisseur.
Le geste de lavage est alors préventif tout comme se moucher.
S. Lainel