24 septembre 1715. Mort du créateur du champagne

publié le 24 September 2013 à 02h01 par José LONCKE


Champagnisation et bouchon de liège
Dom Pérignon (1639-1715), moine bénédictin de l’abbaye d’Hautvilliers, près d’Epernay, était chargé de l’exploitation des vignobles.

24 septembre 1715. Mort du créateur du champagne

Sous sa conduite les moines défrichèrent de nouvelles terres et doublèrent la superficie de leurs vignes.  Pour augmenter non seulement le rendement mais aussi la qualité, Dom Pérignon se plongea  dans l’étude des vins et la culture scientifique du raisin. C’est ainsi qu’il découvrit peu à peu le secret de la champagnisation. Et ce secret, le monastère a réussi à le garder pendant plus d’un siècle !
C’est également lui qui aurait le premier aurait employé le liège pour boucher les bouteilles. Il modifia la forme des bouteilles de champagne et leur donna, à peu des choses près, celle qu’elles ont encore aujourd’hui. C’est lui enfin, qui aurait trouvé la flûte qui permet de voir la montée gracieuse des bulles de Champagne.

La finesse de goût de Dom Pérignon
Dom Pérignon devint aveugle à la fin de sa vie, mais il conserva une finesse de goût tout à fait extraordinaire. Il lui suffisait  en effet de croquer le moindre petit grain de raison pour être aussitôt  en mesure d’en indiquer la provenance exacte.

Les cinq sens
Nous avons cinq sens. Avec les yeux, on peut voir les formes et les couleurs. Avec les oreilles, on entend les bruits. Avec le nez, on sent les odeurs, les bonnes odeurs ... et les mauvaises. Avec la langue, on reconnaît le goût des aliments: le sucré, le salé, l'amer et l'acide. Avec la peau, on sent le chaud, le froid, le dur, le mou, le doux, le rugueux ...
Chaque jour nous voyons sans voir, nous entendons sans entendre… Beaucoup de choses nous sont tellement familières que nous ne les entendons plus, ne les voyons plus.
Pourtant l’ordinaire, peut devenir une source d’éblouissement si  seulement nous arrêtons de courir, et prenons le temps de réfléchir, de penser, d’imaginer. Nous avons besoin de vivre plus lentement et de savourer l’environnement que Dieu nous a donné : 
-la lumière qui baisse en fin de journée, la beauté d’un sourire.
 - Les cris joyeux des enfants dans la rue… une jolie musique
-l’odeur du pain frais, du café le matin, d’un nouveau livre…
 -le goût d’une glace fait maison …
- le toucher d’une serviette propre…

Le Christ a dit « Regarder les lis des champs »… Regarder toute la vie comme un don de Dieu, dans sa bonté. Savourer ces choses.
Nous sommes riches. Vraiment riches ! Non pas parce que nous possédons  mais parce que nous sommes capables de nous réjouir de ce que d’autres possèdent.  C’est là « un plus dans la vie », un cadeau de valeur, sans prix que Dieu notre créateur nous a fait !

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