Culte de Pâques intergénérationnel

Extrait Le culte
Comment célébrer un culte de Pâques, tous ensemble, petits et grands ? Voici une idée originale de trame de culte, permettant à chacun de méditer et de saisir le sens de Pâques, en étant pleinement investi et participant dans le déroulé du culte. Elle demande une certaine préparation, mais nul doute qu’elle portera aussi beaucoup de fruits et de réjouissances !

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Culte de Pâques intergénérationnel

 Avant le culte, on aura préparé la salle de la manière suivante : des petits groupes de dix à douze chaises disposées en arc de cercle en direction de la scène, avec une table basse pour chaque groupe. Sur cette table basse, prévoir des crayons gris, des gommes et des crayons de couleur, ainsi qu’une page contenant quatre ou éventuellement six cases de BD.

Au fur et à mesure que les gens entrent dans la salle, les encourager à s’asseoir en familles, en mélangeant les générations.

1. Bienvenue et mot d’accueil (10 minutes)

Souhaiter la bienvenue à chacun, petits et grands. Si nécessaire, selon le contexte d’Église, expliquer la raison de la disposition des chaises et encourager tout un chacun à profiter de cette disposition qui sort de l’ordinaire pour faire connaissance avec ses voisins.

Puis, en s’adressant en particulier aux enfants, poser la question suivante : « Que fête-t-on aujourd’hui ? » Laisser les enfants donner leurs réponses et les encourager à développer. Par exemple, à la réponse « On fête Pâques », leur demander ce que « Pâques » signifie.

Poursuivre ainsi :

« Pâques, c’est la commémoration de la mort et de la résurrection de Jésus. Que ressent-on lorsqu’on apprend la mort de quelqu’un ? Oui, on ressent de la tristesse. Pourtant, parfois ce qui paraît mourir donne de beaux résultats. Par exemple, lorsqu’une chenille entre dans son cocon, de l’extérieur elle nous semble mourir. On ne voit plus rien, elle ne bouge plus, on ne voit que la toile blanche ou brune qui n’est pas très jolie. On pourrait alors être triste. Mais quelques jours plus tard, elle ressort en un magnifique papillon, rempli de couleurs vives(1).

La Bible dit que la mort de Jésus ne doit pas nous amener à être tristes, mais à être heureux et reconnaissants (Matthieu 28.7-8 ; Jean 20.20). Pourquoi ? Parce que, tout comme la chenille, Jésus a disparu pendant trois jours, pendant lesquels il était mort. Il a été mis dans un tombeau, tout sombre et tout gris, un peu comme le cocon de la chenille. Mais après ces trois jours, il est ressuscité, il est sorti du tombeau, et la Bible dit qu’il était tellement différent que ses proches ne l’ont pas tout de suite reconnu (Luc 24.13-35 ; Jean 20.15).

Alors aujourd’hui, oui, nous nous souvenons de l’événement triste de la mort de Jésus, mais aussi de la très grande joie de sa résurrection.

C’est à cause de cette joie que nous voulons ...

Auteurs
Nathalie PERROT

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On pourra utiliser une image comme celle en pièce jointe pour illustrer le propos, ou alors une vidéo en time lapse de YouTube, par exemple une partie de celle-ci : https://www.youtube.com/watch?v=sXTMw4Mcxtk

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