Je suis né dans une famille qui avait la foi en une religion asiatique d’origine japonaise : le « Sūkyō Mahikari (1) ». Toute mon enfance a baigné dans cette philosophie, en pratiquant « okiyome » cet art sacré au Japon.
Voici comment j’ai compris cette religion : elle croit en un seul dieu mais aussi simultanément en plusieurs. Elle enseigne que nous recevons et transmettons une énergie qui s’appelle la lumière « divine », la lumière de vérité. Son but est de purifier l’âme et les pensées. Ceci impacte nos actions et entraîne des phénomènes positifs dans la vie.
La dégringolade
À 17 ans, j’ai vécu la descente aux enfers sans repère dans la débauche, le sexe, la drogue, l’alcool… J’avais 24 ans lorsque je me suis dit que la vie n’était pas ça, que j’avais une autre valeur que celle qui m’abîmait la santé. J’ai alors commencé à me tourner vers les techniques de développement personnel et me suis repenti devant ce dieu dans l’espoir de revenir à une vie plus saine.
Le tournant
Un jour, alors que j’avais une main bandée, une personne de mon voisinage m’a proposé de prier pour moi. Par la suite, on a beaucoup échangé sur les enseignements que j’avais reçus et sur ce que la Bible disait. Ce qui me touchait, c’est...
Informations complémentaires
Pour en savoir plus
2 Corinthiens 11.14 ; Jean 14.6 ; Matthieu 24.5 ; Exode 20.3-4.
(1) Selon Wikipédia, le Sukyo Mahikari compte environ 500.000 adeptes dans le monde dont entre 15.000 et 20.000 en France. Il est classé parmi les sectes en France et en Belgique.