« C’est une victime ! » Quand on entend ça dans la cour de récré, ce n’est souvent pas bon signe... Or, c’est une réputation qui colle à la peau des chrétiens : des gens qui encaissent sans rouspéter, qui se font insulter et cracher dessus. Des gens qui tendent même l’autre joue ! L’histoire et les actualités montrent des croyants qui souffrent à cause de leur foi, ou alors qui choisissent le chemin de la non-violence face à l’injustice. De plus, quand on voit leur leader, Jésus-Christ, cela n’est pas très joyeux et ne donne pas envie de croire en lui : un homme qui s’est fait crucifier sans rien dire !
Mais l’histoire de Jésus-Christ ne s’est pas arrêtée à sa souffrance sur la croix. Lors du dimanche de Pâques, une nouvelle a ébranlé la terre : Jésus est vraiment ressuscité, la mort n’a plus d’emprise sur lui, la souffrance n’est plus. C’est cet espoir que Jésus donne : la souffrance n’est pas la fin. Jésus a vaincu la souffrance en sortant vivant de la tombe. Cela représente bien Dieu, souvent dépeint fort et victorieux dans la Bible : celui qui lui fait confiance obtient la victoire.
Et cela constitue un espoir pour celui qui croit : la souffrance est passagère, elle aura une fin. Cela permet donc au chrétien...