Prêcher 1 Corinthiens 15

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Prêcher 1 Corinthiens 15

Premières impressions face au texte

Pour tout dire, je n’avais pas envisagé, au départ, de faire une série de prédications sur l’ensemble du quinzième chapitre de la première épître aux Corinthiens, ni même d’engager une étude biblique sur le thème de la résurrection. Mon attention avait été tout simplement attirée par le verset 19 : « Si c’est pour cette vie seulement que nous avons mis notre espérance dans le Christ, nous sommes les plus pitoyables de tous » (NBS).

Dans ce chapitre, l’apôtre Paul encourage les chrétiens de Corinthe non à désespérer de cette vie, mais à vivre l’espérance chrétienne ici-bas en se projetant d’une certaine façon dans le monde à venir. Bien sûr, la vie du ressuscité est à vivre dès à présent, nous n’avons pas d’autres mondes où vivre notre espérance. Le monde où Dieu nous a placés est celui où Dieu nous veut pour témoigner de son nom. Mais, dans notre texte, l’apôtre va tout de même plus loin en laissant entendre que nous ne pouvons pas prendre racine ici-bas. La vie du ressuscité aura forcément pour ceux qui l’ont reçue son heure de gloire (au sens théologique du terme !) au jour de la résurrection des corps. Ce n’est qu’ainsi, revêtus de cette incorruptibilité, que les croyants entreront définitivement dans le royaume de Dieu, puisque la chair et le sang ne peuvent en hériter (15.50). Nous vivons cette espérance en ayant les yeux de la foi tournés vers cet avenir extraordinaire où Dieu essuiera toute larme de nos yeux, où la mort ne sera plus, où il n’y aura plus ni deuils, ni cris, ni douleurs car « les premières choses » auront disparu (Apocalypse 21.4). Que faut-il entendre par « les premières choses » ? Certainement les conditions spirituelles de la vie présente (cf. 15.19), avec toutes ses contraintes et ses vicissitudes. C’est dans cette vie que la mort, toujours présente, sera le dernier ennemi définitivement anéanti lors du retour glorieux de Jésus-Christ (15.26).

À ce stade de ma réflexion, je décidai de lire et relire tout le chapitre afin de placer ma prédication dans le contexte général de la pensée de l’apôtre. Mais quelle ne fut pas ma perplexité devant la richesse et la profondeur de sa pensée ! Comment rendre compte d’une telle richesse ? Comment articuler l’espérance de la vie éternelle dans un monde à venir (dont nous savons si peu de choses) avec la nécessité de vivre notre foi dans ce siècle-ci, siècle dont nous connaissons malheureusement trop de choses, tristes et dégradantes ? Comment dénouer, dans une seule prédication, certaines difficultés exégétiques comme le verset 29 et son fameux baptême « pour les morts » et ses dizaines d’interprétations toutes plus intelligentes les unes que les autres ? Ne parlons pas des versets 39 à 41, avec cette énumération de chair de poisson, de chair d’oiseaux et ce cours d’astronomie évoquant les différents corps terrestres et célestes ! Comment prêcher la typologie complexe des deux Adams aux versets 45 à 49 (cf. aussi 15.22) sans faire un cours de dogmatique ? 

D’une part, je me suis peu à peu rendu compte que ce n’était qu’au travers de la vision globale du chapitre tout entier que tous les points délicats abordés dans ce texte trouvaient une juste place. À ce titre, l’introduction et la conclusion du chapitre nous ouvrent le chemin : « L’Évangile reçu » et sur lequel les Corinthiens doivent se « tenir debout » (15.1-2) leur permettra de « rester fermes, inébranlables » et de « progresser toujours dans l’œuvre du Seigneur » (15.58). De même que l’Évangile permet à tout chrétien de tenir ferme au sein des épreuves, c’est donc sur la voie de cet Évangile proclamant la mort et la résurrection de Jésus que toutes les embûches exégétiques de ce chapitre trouveront, elles aussi, leur salut. Il s’agissait donc pour moi de ne pas trop m’attarder sur quelques versets difficiles, mais de saisir le tableau dans sa globalité et sa beauté d’ensemble.

D’autre part, mes premières impressions concernant la nécessité de regarder au monde à venir (15.19) devaient maintenant faire place à une réflexion plus globale sur le regard de l’apôtre face à l’événement de la résurrection et la réception de cette idée phare du christianisme dans l’Église de Corinthe. Plus je lisais ce chapitre, et plus il me semblait illégitime d’imposer à toute une section biblique, l’angle d’attaque du verset 19. En effet, celui-ci risquait d’orienter ma lecture et de ne pas prendre suffisamment en compte les intentions de Paul dans l’ensemble du chapitre. Je me posais donc la question suivante : Pourquoi l’apôtre Paul consacre-t-il tout ce chapitre au thème de la résurrection ? Il répond certainement à des questions que lui posent les corinthiens (15.35). Il sait aussi que certains chrétiens issus du monde grec n’arrivaient pas à intégrer la notion juive de résurrection des corps. Certains disaient même qu’il n’y a pas de résurrection des morts (15.12), probablement parce qu’une telle idée était tout bonnement inconcevable pour eux. Paul ne s’y trompe donc pas : certains indicateurs théologiques étaient dans le rouge et il fallait recadrer tout cela par un enseignement basé sur l’Évangile annoncé par les apôtres et consigné dans les Écritures vétérotestamentaires (15.3-4, 11).

Apaisement homilétique et équilibre théologique

Dieu est un Dieu de grâce, et sa grâce envers ses prédicateurs n’est pas vaine... Lire, relire et ruminer cette parole du chapitre 15 avant de se lancer dans la lecture de savants commentaires est salutaire à bien des égards !

Les premiers versets de notre section commencent par un rappel de l’Évangile annoncé par l’apôtre aux chrétiens de Corinthe, Évangile qu’ils ont reçu et par lequel ils demeurent debout, si du moins il est compris selon la parole de l’apôtre. Cette parole, par laquelle les chrétiens de Corinthe sont venus à la foi, repose sur le fondement d’un événement historique : la mort/résurrection du Christ (15.3-4). Comme l’a écrit A. M. Hunter : « Dans la lumière de la résurrection, le ministère de Jésus a trouvé son point culminant, la croix son explication et l’avenir sa voie vers la puissance et la gloire »(1)

En méditant la première section de ce chapitre (15.1-11), je réalisai que la résurrection du Christ et celle des croyants unis à lui devaient être décrites et expliquées non comme des idées « à part », mais bien dans le cadre précis de l’Évangile tel que les apôtres de Jérusalem et Paul l’avaient enseigné. Par exemple, ma série de prédications ne pouvait pas être de « l’apocalyptique ». Si certains chrétiens trouvent passionnant de débattre de l’utilité ou non de signer des accords sur le réchauffement climatique alors que ce problème pourrait être réglé lors du millénium (un millénium compris littéralement comme une période précise dans l’histoire humaine), mes prédications sur ce chapitre ne pouvaient s’inscrire que dans l’événement historique de la mort/résurrection du Christ il y a plus de deux mille ans. Telle était la foi par laquelle les Corinthiens étaient venus à Christ, telle était la foi enseignée par l’apôtre Paul et telle fut la foi annoncée par les apôtres de Jérusalem (15.11). J’ajoute, telle devait être la foi qui allait me préoccuper dans l’élaboration de mes prédications sur l’ensemble de ce chapitre.

Répartir la matière

Ces réflexions préalables derrière moi, il fallait maintenant réfléchir au découpage de notre chapitre pour établir le nombre de prédications et pour cerner les différents aspects de l’Évangile sans perdre de vue la cohérence interne du développement de la pensée de l’apôtre. Voici mon découpage avec un titre et le verset central qui conduirait ma réflexion pour le développement de chaque prédication :

• Versets 1 à 11 : un seul Évangile, l’Évangile apostolique (verset central : 15.11)

• Versets 12 à 19 : ressuscités pour marcher en nouveauté de vie (versets centraux : 15.17-18)

• Versets 20 à 34 : sa résurrection est la nôtre (verset central : 15.20, avec la notion de Christ comme prémices des croyants). NB : sur cette idée de prémices comme point de départ, j’avoue avoir eu des difficultés car le développement à partir du verset 24 jusqu’au verset 28 dépasse largement la thématique de notre union à Christ dans sa mort/résurrection.

• Versets 35 à 50 : la résurrection comme condition de la vie future (verset central : 15.50)

• Versets 51 à 58 : l’espérance comme source d’inspiration et de motivation pour le service (verset central : 15.58)

Au total, cela ferait donc une série de cinq prédications. Je reconnais que ce découpage est discutable. En définitive, on peut prendre des sections plus importantes pour prêcher sur ce chapitre car il y a une thématique bien précise que l’apôtre garde tout au long de son développement : celle du Christ victorieux de la mort, annonçant ainsi l’âge nouveau du Royaume à venir. On pourrait, par exemple, prendre les versets 1 à 19, voire 1 à 34, puis 35 à 58, ce qui réduirait la matière à deux prédications au lieu de cinq. À chacun de voir, l’essentiel étant de garder en tête la pensée générale de l’apôtre tout au long du chapitre. Pour les prédicateurs qui ont tendance à être un peu trop bavards, un découpage en cinq parties peut les brider, quoique...

Résumé de la première prédication de cette série 

« Un seul Évangile, l’Évangile apostolique » (1 Corinthiens 15.1-11)

L’apôtre Paul affirme vouloir (littéralement) « faire connaître » aux Corinthiens l’Évangile qu’il leur a auparavant annoncé. Mais pourquoi annoncer encore quelque chose que les chrétiens ont déjà entendu, reçu et dans lequel ils ont cru ? (15.1)

D’abord parce qu’il y a un fondement qui ne peut être remis en question. Ce fondement n’est pas négociable, échangeable ou remboursable. Ce fondement de la foi, décrit dans les premiers versets (mort pour les péchés, ensevelissement et résurrection le troisième jour), est si important que l’apôtre identifie la proclamation de ce message apostolique à la foi des chrétiens : « Ainsi nous proclamons, ainsi vous avez cru... » (15.11). 

Ensuite parce que notre compréhension de l’Évangile peut être confuse, et cela était certainement le cas pour certains chrétiens de l’Église de Corinthe. Il est donc toujours nécessaire de repréciser les termes même du message ainsi que leur portée spirituelle. Revenir aux bases, en somme. 

Enfin, parce que notre ancrage spirituel dans la vérité biblique doit toujours être approfondi. Nous avons toujours besoin de saisir la profondeur de l’Évangile et ses implications dans notre vie quotidienne pour grandir dans la grâce de Dieu. Paul le dit bien dans Éphésiens 3.17-19 : 

Plongez vos racines dans l’amour et soyez solidement construits sur cet amour. Alors vous serez capables de comprendre avec tous les chrétiens la largeur, la longueur, la hauteur et la profondeur de l’amour du Christ. Vous connaîtrez cet amour qui dépasse tout ce qu’on peut connaître. Vous recevrez toute la vie de Dieu, et il habitera totalement en vous.

Dans un premier temps, l’apôtre Paul encourage donc les chrétiens en précisant qu’ils doivent « retenir l’Évangile dans les termes qu’il leur a annoncé » (15.2). Littéralement, il s’agit de « tenir fermement » l’Évangile. En effet, on peut avoir commencé sa vie chrétienne sur de bons fondements, puis s’en détourner. Il faut donc rester affermi sur les bons fondements du départ. Si Paul parle avec autant d’assurance et d’autorité, c’est parce que le ressuscité lui est apparu. Cette autorité apostolique est fondée sur un événement historique fondamental : la résurrection de Jésus. Comment la foi peut-elle porter du fruit ? En étant gardée, retenue dans le cadre où elle nous a été transmise. Ainsi, dans la parabole du semeur dans Luc 8.15, la parole qui porte son fruit est celle qui est non seulement reçue, mais aussi gardée. 

Ensuite, l’apôtre souligne l’authenticité de la résurrection par la légitimité des témoins et par leur nombre important, dont la plupart peuvent encore témoigner de ce qu’ils ont vu. Mais avant cela, Paul rappelle quel est cet Évangile qu’il a transmis aux Corinthiens : (i) le Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures ; (ii) Il a été enseveli ; (iii) Il est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures. Notez l’insistance de Paul : « Il est mort pour nos péchés ». C’est que, pour Paul, la récitation d’un credo ne suffit pas. Cette parole de foi s’adresse à moi, je suis personnellement concerné par la mort de Jésus. Je dois croire et confesser que ce sont mes péchés qu’il a portés. Je dois m’approprier cette vérité ici et maintenant, comme à chaque instant. C’est le cas pour toutes les parties de cet Évangile.

Au verset 11, Paul rappelle la commune identité entre son message, celui des apôtres et la foi des chrétiens de Corinthe. Qu’en est-il de notre propre « proclamation » de l’Évangile, de la façon dont nous le comprenons et dont nous le vivons aujourd’hui ? Dans une société pluraliste, affirmer que seul le message d’un Christ ressuscité peut nous sauver et nous attirer des moqueries, voire plus. On préférera un discours pluriel, plus tolérant, plus agréable à entendre. On nous dit parfois : « Chacun doit se construire sa vérité et rester ouvert aux autres ». Mais, même si notre compréhension de l’Évangile et ses conséquences pratiques peuvent être diverses, il n’y a pas deux ou trois Évangiles : « Il y a un seul corps et un seul Esprit, tout comme vous avez aussi été appelés dans une seule espérance, celle de votre appel ; il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, par tous et en tous » (Éphésiens 4.4-6).

Pour conclure, dans ce texte (plus particulièrement aux versets 9 et 10), il y a une insistance sur la grâce de Dieu à l’œuvre dans la vie de son serviteur, l’apôtre Paul. Rien ne laissait présager que le persécuteur des chrétiens devienne l’apôtre des nations. Lui, le moindre de tous les apôtres, ce rabbin fanatique, comment a t-il pu se convertir à Jésus-Christ ? Il a rencontré le ressuscité sur le chemin de Damas. La grâce de Dieu s’est manifestée à lui au travers du ressuscité. 

Quand on est au bénéfice de la grâce de Dieu, tout est possible, tout peut changer. Quand on est touché par la grâce, on peut s’attendre à tout. C’est le miracle de la grâce qui lui a permis d’accomplir une telle œuvre, mais « non pas moi toutefois mais la grâce de Dieu qui est avec moi » (15.10). Paul met en évidence ce que la grâce a produit dans sa vie, l’efficacité surnaturelle de la grâce divine : « Par la grâce de Dieu je suis ce que je suis » (15.10). C’est sa grâce qui me permet d’accepter ce que je suis, c’est sa grâce qui doit continuer de s’affirmer en moi, et c’est toujours sa grâce qui me met en marche. 

Alors, comme Paul, disons « par la grâce de Dieu, je suis ce que je suis », allons de l’avant avec la puissance de la grâce en nous qui peut faire infiniment au-delà de ce que nous demandons ou pensons. Pourquoi est-il si difficile de laisser la grâce de Dieu agir pleinement dans sa vie ? S’il n’est pas naturel de nous abandonner à la grâce de Dieu, c’est peut-être parce que nous aimerions régler les choses à notre façon plutôt que de laisser le soin à Dieu de le faire jusqu’au bout. Pourtant la grâce de Dieu nous met en marche et produit un fruit abondant : « Sa grâce envers moi n’a pas été vaine (sans effets) » (15.10). 

Ainsi, si Dieu te demande d’agir en son nom, ne lui dit pas comme Moïse : « qui suis-je, moi ? » Cette réponse n’est pas forcément une preuve d’humilité. Elle peut dissimuler une fausse humilité, des craintes. « Qui suis-je ? » peut être la réponse d’un homme qui doit apprendre à compter sur la grâce divine qui seule le rendra capable de devenir réellement humble devant Dieu pour accomplir son service. Comme Paul, tu es ce que tu es par la grâce de Dieu et si Dieu t’appelle c’est qu’il t’a donné la grâce d’aller. Dis plutôt, comme Paul : « Je suis ce que je suis par ta grâce » car pour accomplir l’œuvre de Dieu, tu n’es rien. Si ce n’est la grâce de Dieu accomplissant son œuvre en toi, tu ne peux rien accomplir de toi-même. Par contre, c’est quand on s’active pour Dieu en étant réellement motivé par sa grâce, que l’on peut se permettre de dire comme Paul : « j’ai travaillé plus qu’eux tous ».  

Bibliographie sélective pour l’étude de 1 Corinthiens 15

Blomberg, Craig L. The NIV Application Commentary, 1 Corinthians, From biblical text... to contemporary life. Grand Rapids, MI, Zondervan, 1994. L’auteur découpe notre chapitre en deux grandes sections, des versets 1 à 34 et de 35 à 58. À noter que dans cette série de commentaires, les applications ne sont pas toujours très pertinentes au contexte francophone et/ou européen, tant elles dépendent beaucoup du contexte américain. En ce qui concerne le chapitre 15, les applications du texte proposées par l’auteur s’inscrivent plutôt dans l’apologétique. 

Carson, Donald A. & Moo, Douglas J. Moo. Introduction au Nouveau Testament. Charols, Excelsis, 2007. Voir notamment le chapitre « Introduction à 1 et 2 Corinthiens » (p. 381-420) et « Paul, apôtre et théologien » (pp. 323-357). Un ouvrage utile pour bien comprendre l’arrière-plan de l’épître et l’architecture théologique de l’apôtre. 

Fee, Gordon D. The First Epistle To The Corinthians, NICNT. Grand Rapids, MI, Eerdmans, 1987. Un commentaire très riche. Gordon Fee répartit la matière du chapitre 15 en trois grandes sections : les versets 1 à 11 « le fondement, la résurrection du Christ » ; les versets 12 à 34 « la certitude de la résurrection » et les versets 35 à 58 « la résurrection du corps ».

Héring, Jean. La première épitre de St Paul aux Corinthiens, Commentaire du Nouveau Testament VII, Genève, Delachaux & Niestlé, 1949. Un commentaire qui a de l’âge mais très rigoureux quant à son exégèse.

Ladd, George E. Théologie du Nouveau Testament, Charols, Excelsis, 1999. À lire tout particulièrement, le chapitre 28, intitulé « Introduction à la pensée de Paul », et plus précisément la partie « Toutes choses nouvelles » des pages 411-416, ainsi que le chapitre 39 « L’eschatologie paulinienne », p. 601-620.

Somerville, Robert. La première épitre de Paul aux Corinthiens, tome 2, Vaux-sur-Seine, Édifac, 2005. Un bon commentaire vivifiant par son approche anti-légaliste.

Auteurs
Thierry ROUQUET

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1.
A. M. Hunter, Introduction à la théologie du Nouveau Testament (Paris, Cerf, 1968), p. 66.

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