Qui n'a pas subi, même indirectement, les effets de ce nouveau virus ? Certains d'entre nous ont perdu des proches, d'autres leur emploi, beaucoup sont gagnés par la peur. Rien n'est vraiment tout à fait comme avant.
On peut s’interroger
Que fait donc le Dieu des chrétiens dans ce temps d'épidémie ? Est-il même au courant que quelque chose de tragique se passe dans le monde des humains ? Et s'il est au courant, comment comprendre qu’il n’agisse pas ? Est-ce parce qu’il n'est pas aussi puissant que ce que les chrétiens prétendent ? Ou alors, s’il est capable de faire quelque chose mais que nous ne voyons rien changer, est-ce parce qu’il ne s'intéresse pas sincèrement à nous ? Serait-il un dieu indifférent à nos douleurs, pas très intéressé par nos affaires ? En clair : soit le Dieu des chrétiens n’est pas « bon », soit il n’est pas « tout-puissant » !
Des questions normales
La présence du mal et de la souffrance soulève naturellement notre révolte. Nous aimerions que le mal ne fasse pas partie du monde ; la souffrance et la mort nous paraissent inacceptables. Le Dieu des chrétiens pourrait-il se montrer et s'expliquer ? Or, il reste absent. Vraiment ? Dieu serait-il absent quand on a besoin de lui ?
La réponse de Dieu
En fait, la Bible témoigne que Dieu n'est jamais absent. Sa plus grande réponse à nos questions concernant la souffrance, c'est qu'il n'a pas hésité à venir lui-même dans le monde. Les virus et autres maladies mortelles ne sont pas nouveaux, et pourtant, Jésus est venu vivre au milieu des maladies. Il n'a pas jugé indigne de lui de marcher au milieu des malades et des lépreux. Jésus est venu subir les mêmes peines que nous. Il a connu la douleur. Il a pleuré ses morts. Il s'est révolté contre les injustices. Et il a souffert. Le Dieu de la Bible est le seul qui a non seulement créé le monde, mais qui est venu subir lui-même les conséquences d'un monde dans lequel la souffrance et la mort sont apparues. Mais Jésus est aussi venu montrer, par sa résurrection, que la mort et la souffrance auront une fin ! Voilà une merveilleuse espérance !
Si vous souffrez sans savoir quel sens donner à la souffrance et à la mort, venez trouver la seule espérance. Répondez à cet appel : « Venez et goûtez la bonté de Dieu*. »